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Politique

DAVAIN AKURÉ PREND SES RESPONSABILITÉS

Le Président du nouveau parti politique "Les Démocrates Libres" Séraphin Davain Akuré a déclaré lors de sa conférence de presse organisée ,jeudi, prendre ses responsabilités quant à sa participation à la concertation politique.

Lors de sa conférence de presse, le président du parti 'Les Démocrates Libres' Davain Akuré a pris ses responsabilités sur sa participation au dialogue politique organisé par le président Ali Bongo.

Pour l'homme politique, cette concertation leur a permis d'obtenir de la partie adverse un certain nombre de choses à savoir, la facilitation des conditions d’accessibilité aux conditions pour les élections politiques; la réduction de la caution à l'élection présidentielle qui était de 100 millions et bon nombre de choses.

"Nous nous sommes battus pour que les conditions d’accessibilité aux candidatures soient beaucoup plus souples pour ceux qui voudrons se présenter, pour que la caution à l'élection présidentielle ne soit plus de 100 millions mais plus tôt de 10 millions", 

a-t-il déclaré.

Le président de LDL dit ainsi assumer sa participation avec ses collègues au dialogue politique, car selon lui, ceux qui sont en face ne partagent pas le même point de vu.

 

Toujours debout malgré tout

Malgré le fait d'avoir été écarté de son ancien parti politique, Davain Akuré n'a pas faibli, mais a plus tôt rebondit en créant son propre parti politique.

Une idée nourri semble -t-il depuis un certain temps, la rapidité avec laquelle Séraphin Davain Akouré a brandit le récépissé le confirme largement.

 Ainsi, la concertation politique a été une bonne porte de sortie pour lui. Rappelons que la réputation d’Akuré Davain n’est plus à faire au sein de la classe politique gabonaise.

L'homme politique promet ainsi prendre le pouvoir lors des échéances politiques avenir.

 

Ce que l'on sait de son " rapprochement avec Ali Bongo" à la veille des échéances électorales.

Face à ses partisans, Akuré Davain est revenu sur son échange avec Ali Bongo Ondimba au cours de la concertation politique du 13 février dernier . Selon ses propos

"j'étais à la présidence et vous m'avez vu  et tout ceux qui sont à ma droite y étaient  J'étais face au chef de l'Etat et je lui ai dis   avec bien sûr  tout le respect lié à son rang qu'il y'a des choses  qui doivent changer . Notamment il n'est pas recevable qu'il soit président de la République gabonaise et chef d'un  parti politique  . Je le lui ai dit il a entendu . Je lui ai également dit qu'il devait penser à limiter les mandats s  parce que si nous l'aurions demandé  les autres allaient refuser.

La sortie du fougueux député du 2e arrondissement de Lambarené divise aujourd'hui encore l'opinion.

 

 

Par LINA WM

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